Dans cette nouvelle saison des Confidences, on se plonge à nouveau dans des histoires inédites qui bousculeront la bienséance. MAIS on a aussi décidé d’y semer quelques nouveaux invités.
Pour ce 10ème épisode, nous avons placé sur notre cuvette, un individu d’une espèce particulière: le patron.
Mettre un patron sur notre cuvette royale, ça faisait longtemps qu’on y pensait! Plus d’un an, certainement. Pendant notre accompagnement entrepreneurial, on avait même réfléchi à créer une série spéciale pour les boss: on imaginait « la série des leaders qui parlent vrai« , celles des « patrons qui en ont dans le pantalon« … parce qu’il nous paraissait important de secouer un peu le cocotier de l’univers impitoyable du travail, sa langue de bois, ses stratégies, son manque d’humanité… Vous voyez?
Mais quel patron allait accepter d’être interviewé dans des toilettes, par deux journalistes empathiques qui rêvent d’améliorer le vivre-ensemble? Il nous fallait un boss suffisamment reconnu et légitimé par ses pairs, et assez confiant et téméraire pour nous suivre dans cette aventure en mode laboratoire.
Notre réflexion nous mène à Jean-Jacques Cloquet, dont nous avions entendu parler pour sa qualité de dirigeant « humain avec ses équipes« , pour son parcours atypique (footballeur, manager chez Solvay pendant 20 ans, responsable de l’aéroport de Charleroi pendant 10 ans et nouvellement CEO dans l’entreprise familiale Pairi Daiza). En 2018, il reçoit le titre de Manager de l’année. Deux-trois coups de fils pour obtenir son numéro et hop, on lance notre invitation. L’homme répond, enthousiaste: « Bon alors, on fait ça quand? Tu as du temps pour venir jusque Charleroi? ». Il n’y avait qu’à oser, en fait… On comprendra par la suite que Jean-Jacques est toujours partant quand il est question d’audace!
On espère que vous apprécierez nos nouvelles explorations. Rendez-vous le mois prochain pour de nouvelles écoutes!
Pour en savoir plus sur le management selon JJC, le journaliste Didier Albin lui a consacré un livre: « Jean-Jacques Cloquet , Grandir et faire grandir » aux Editions Kennes.
Et on termine en envoyant une bise à Cindya Izzarelli pour la remercier d’avoir prêté sa voix pour le texte consacré à la solitude.